mardi 1 décembre 2020

Le centre Sidi Abdellah de Cancérologie unique en Afrique dans le traitement du cancer offre des soins de pointe


 



Depuis son ouverture Le centre Sidi Abdellah de Cancérologie offre des soins de pointe en matière de traitement par radiothérapie.

 

Doté d’un équipement de haute technologie, unique en Afrique dans le traitement du cancer, à savoir la tomothérapie, le Centre spécialisé Sidi Abdellah est situé à la nouvelle ville de Sidi Abdellah à Alger, se distingue ainsi de tous les centres de prise en charge du cancer en Algérie, vu les techniques de pointe qu’offrent des appareils de dernière génération.

 

Depuis son  inauguration en 2016, ce centre anti cancer propose ainsi une prise en charge par radiothérapie, curiethérapie et chimiothérapie en hôpital de jour d’une qualité conforme aux normes reconnues.

 

Le choix de la tomothérapie, conçue et développée par la société américaine Accuray, pour la première fois disponible en Afrique, est une technologie révolutionnaire qui associe dans un seul et même équipement un scanner 3D et un accélérateur de particules qui produisent des faisceaux de radiation.

 

Avec cette nouvelle technologie, on a moins de complications et de problèmes et on arrive à optimiser les protocoles les plus performants avec une réduction de la durée des traitements.

Pour maîtriser cette technologie, il a d’abord fallu faire des formations de perfectionnement pendant plusieurs semaines au profit des médecins, des physiciens médicaux et des manipulateurs. Le personnel d’accueil a, quant à lui, bénéficié d’une formation de plusieurs semaines délivrée par des formateurs et certifiée afin de maitriser l’informatisation et la numérisation de toutes les informations liées aux patients.



 

L'unité d'oncologie médicale  comporte 11 Chambres toutes dotées de 2 fauteuils électriques très confortables et adaptables soit 22 lits au total. Cette unité accueille les patients ayant un traitement ambulatoire.


Le centre propose aussi une prise en charge antidouleurs, des soins palliatifs ainsi que la pose de chambre implantable (port-à-cath®) assurée par une équipe hautement qualifiée.


La prise en charge psychologique des patients est assurée par un psychologue spécialisé (Option professionnelle " Santé "), il joue un rôle primordiale dans la prise en charge médico-psychologique par l'écoute, l'accompagnement et le soutient psychologique des patients et leurs proches.


A fin de répondre aux attentes des patients, le centre Sidi Abdellah de Cancérologie, propose des formules de prises en charges par le biais  de conventions


Visitez le site internet  du centre :

http://www.csac-dz.com/


samedi 28 novembre 2020

Vaccins de Pfizer et Moderna contre la Covid-19 : L’ARN messager, une technologie génétique ultra-innovante

 


L’efficacité de ces vaccins, développés en un temps record, suscite de grands espoirs dans le monde.
L’alliance américano-allemande Pfizer/BioNTech puis la société américaine Moderna ont affirmé récemment avoir obtenu des premiers résultats très concluants concernant leurs vaccins contre le coronavirus.
Tous deux ont souligné avoir trouvé la martingale pour lutter contre la Covid-19, avec des vaccins qui seraient efficaces respectivement à 95% et 94,5%. Jamais un vaccin n’a été développé si rapidement, face à une maladie si récente.
Leurs essais cliniques sont actuellement en phase 3, autrement dit la dernière étape avant la mise sur le marché. Les deux entreprises prévoient de produire 50 millions de doses en 2020, et jusqu’à 1,3 milliard de doses en 2021.
L’efficacité de ces vaccins, développés en un temps record, suscite de grands espoirs dans le monde, alors que de nombreuses populations, notamment aux Etats-Unis et en Europe, sont confrontées à une deuxième vague du virus.
Ces deux vaccins ont un point commun : ils sont basés sur la même technologie, appelée «ARN messager» (ARNm), en développement depuis les années 1970 sous l’impulsion de la chercheuse d’origine hongroise Katalin Karikó.
Tous les vaccins ont le même but : entraîner notre système immunitaire à reconnaître le coronavirus, lui faire monter ses défenses de façon préventive afin de neutraliser le vrai virus s’il venait à nous infecter.
Habituellement, les vaccins classiques, comme celui de la grippe par exemple, sont fabriqués à base de morceaux de virus inactivés, atténués ou des protéines de ce virus, qui permettent de déclencher une réponse immunitaire, qui va conduire à la fabrication d’anticorps spécifiques, capables de protéger la personne lorsqu’elle sera infectée par le virus.
Avec les vaccins de Moderna et BioNTech/Pfizer, «on n’injecte pas une protéine du Sars-CoV-2, mais un message qui va diriger la synthèse d’une de ses protéines dans le corps», a expliqué Bertrand Séraphin, directeur de recherche à l’Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire (IGBMC) du CNRS, cité par France 24.
L’ARN messager est en effet un vecteur qui transporte des informations jusqu’aux cellules afin de leur dire quelle protéine fabriquer.
Dans le corps, «chaque gène va faire un ARN messager différent pour une protéine spécifique. C’est le dogme central de la biologie moléculaire», a ajouté ce spécialiste. Cette technologie présente un avantage non négligeable : les vaccins sont plus rapides à mettre au point.
Et pour cause : ils ne nécessitent pas de cultiver de pathogènes en laboratoire, puisque c’est l’organisme qui fait le travail. Ce type de vaccin peut donc être produit facilement et en grande quantité. L’inconvénient ? Ils doivent être stockés à très basse température, à savoir -70°C, contrairement aux vaccins classiques, qui doivent être conditionnés à -20°C.
Cependant, des questions autour de ce vaccin restent en suspens, notamment autour de la durée de son efficacité : «L’immunité pourrait disparaître plus rapidement qu’avec d’autres vaccins, nous n’avons pas de recul sur cette technologie», a indiqué sur FranceInfo Etienne Simon-Lorière, responsable de l’unité de génomique évolutive des virus à ARN à l’Institut Pasteur.
Dans une interview à la Radio et Télévision suisse, le patron de Moderna, Stéphane Bancel, a tenu à rassurer les inquiets. «La technologie de l’ARN messager est très intéressante (…). Elle ne touche pas le noyau de la cellule, ce qui est très important pour ne pas prendre de risque avec votre ADN», a estimé Stéphane Bancel.
Les thérapies à base d’ARN messager ne se limitent pas non plus à la lutte contre les virus comme la Covid-19. Elles peuvent se révéler utiles «dès lors qu’il faut produire des anticorps pour lutter contre des cellules malades», a précisé Bertrand Séraphin.
«Une cellule cancéreuse est généralement différente des autres avec des protéines différentes à sa surface. On peut imaginer des vaccins à base d’ARNm qui stimulent la réponse immunitaire contre ces protéines spécifiques afin de détruire plus efficacement les cellules cancéreuses», a expliqué le scientifique français.


www.elwatan.com/ 

 

jeudi 8 octobre 2020

Cancer du sein : le dépistage précoce peut sauver des vies

 



Le cancer du sein continue de faire des victimes, très largement parmi les femmes, et de manière moindre des hommes aussi. En ce mois d’octobre, mois dédié à la sensibilisation au dépistage, la Chaine 3 de la Radio nationale diffuse un nouveau reportage consacré à cette maladie.

On ne le dira jamais assez, le dépistage précoce peut sauver des vies. Rencontrée au niveau d’un établissement de santé, Naïma, une maman de 42 ans qui n’a jamais fait de mammographie, découvre, suite à une simple consultation, qu’elle a un cancer à un stade avancé.

Les médecins et spécialistes ne cessent d’alerter et d’appeler à faire des contrôles fréquents. C’est d’ailleurs ce qui a sauvé, Saliha, une autre maman atteinte de cette maladie. «Moi, je conseille aux femmes d’aller faire le dépistage», recommande-t-elle.    

Le Professeur Djeddi du Centre Pierre&Marie Curie, affirme que l’évolution de la médecine permet, aujourd’hui, d’obtenir des résultats de plus en plus satisfaisants lorsque le cancer est découvert à temps. «Certaines patientes sont même guéries à 100%», rassure-t-elle.

www.radioalgerie.dz

dimanche 21 juin 2020

Coronavirus : le masque, outil de base pour empêcher une deuxième vague













Comment éviter une nouvelle vague dans la pandémie de coronavirus ? Une étude britannique pense avoir trouvé une solution. Selon elle, le port du masque à l'échelle de la population pourrait faire baisser la transmission du coronavirus à des niveaux contrôlables et prévenir de nouvelles vagues de contamination en le combinant à des mesures de confinement.

Menée par des scientifiques des universités britanniques de Cambridge et de Greenwich, cette étude suggère que les mesures de confinement ne suffiront pas à arrêter la résurgence du coronavirus SRAS-CoV-2, mais que même les masques peuvent réduire considérablement les taux de transmission si un nombre suffisant de personnes les portent en public.

« Nos analyses soutiennent l'adoption immédiate et universelle du masque par le public », a déclaré Richard Stutt qui a codirigé l'étude à Cambridge. Les résultats de l'étude ont été publiés dans la revue scientifique Proceedings of the Royal Society A.

Efficacité du masque prouvée

Au début de la pandémie, les preuves scientifiques de l'efficacité des masques étaient limitées. Mais à la suite de nouvelles recherches menées ces dernières semaines, l'Organisation mondiale de la santé a déclaré vendredi recommander désormais le port du masque en public par tous pour tenter de réduire la propagation de la maladie.

Le masque jetable, nouveau casse-tête des déchets de plage

Les chercheurs ont évalué différents scénarios de ports de masques combinés à des périodes de confinement. L'étude a montré que porter un masque en public est deux fois plus efficace pour réduire la transmission que le fait d'en porter un après l'apparition des symptômes de la maladie.

Dans tous les scénarios examinés, l'utilisation systématique d'un masque par 50 % ou plus de la population a réduit la propagation du coronavirus, prévenant les futures vagues de contamination tout en permettant un confinement moins strict. D'autres experts qui n'ont pas été directement impliqués dans cette étude sont divisés sur ses conclusions.

Brooks Pollock, expert en modélisation des maladies infectieuses de l'université de Bristol, a déclaré que l'impact probable du port du masque pourrait être beaucoup plus faible que prévu. Pour Trish Greenhalgh, professeur à l'université d'Oxford, ces résultats sont encourageants et il estime que le port du masque « pourrait être une mesure efficace pour la population ».

Source AFP

www.lesechos.fr

mardi 12 mai 2020

Journée internationale des infirmières : en pleine lutte contre le Covid-19, le personnel infirmier mérite reconnaissance, respect et protection





















Genève – Le personnel infirmier et l'ensemble des professionnels de la santé en première ligne du combat contre le Covid-19 méritent notre reconnaissance et notre respect pour les efforts qu'ils déploient afin de sauver des vies et pour les sacrifices personnels auxquels ils consentent, alors qu'ils sont eux-mêmes exposés à des risques accrus pour leur propre santé et que, dans certains contextes, ils sont également victimes d'ostracisme, de harcèlement et de violence.

Ce mardi 12 mai, le Conseil International des Infirmières et le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge célèbrent conjointement la Journée internationale des infirmières. Il s'agit de rendre hommage aux membres du personnel infirmier du monde entier, en particulier à tous ceux qui font face à une augmentation inédite de leur volume de travail due à la prise en charge des malades du Covid-19, tout en assurant le fonctionnement d'autres services de santé essentiels.

Si de nombreuses communautés ont à cœur de saluer l'action des professionnels de la santé, il est inquiétant de constater que dans d'autres contextes, le personnel infirmier et d'autres personnels de santé sont la cible de harcèlement et de violence – parfois dans les transports en commun, voire à leur domicile – à cause de leur implication même dans la lutte contre le Covid-19.

« Les membres du personnel infirmier sont les premiers à sauver des vies dans le monde. Ils mettent leur santé en péril et, trop souvent, ils sacrifient des moments en famille pour soigner les personnes atteintes du Covid-19 », indique Robert Mardini, le directeur général du Comité international de la Croix-Rouge (CICR). « On ne peut que se réjouir du fait que des infirmières et des infirmiers soient mis à l'honneur par de nombreuses communautés, mais il est à déplorer que d'autres soient victimes de harcèlement, de stigmatisation et même d'agression. »

« La sécurité des personnels de santé pendant cette pandémie est essentielle pour que les communautés puissent lutter contre la maladie. Non seulement ils sauvent des personnes atteintes du Covid-19, mais ils assurent également la continuité d'autres services de santé indispensables, notamment en cas d'accident et d'autres maladies », explique le secrétaire général de la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, Jagan Chapagain. « Nous craignons que les pressions exercées par la pandémie sur le personnel médical et les systèmes de santé ne conduisent à un point de rupture, en particulier dans les contextes vulnérables et précaires. »

« Nous ne pouvons qu'être choqués par la stigmatisation et la violence dont sont victimes le personnel infirmier et d'autres personnels de santé dans certains pays. La seule attitude à adopter face à cela est la tolérance zéro », déclare Annette Kennedy, présidente du Conseil International des Infirmières. « Pendant cette pandémie, les infirmières et les infirmiers de première ligne sont à juste titre devenus des héros, mais ce sont aussi des mères et des pères ordinaires qui ont une famille à protéger. Ils doivent pouvoir travailler sans craindre de manquer d'équipements de protection individuelle ou d'être harcelés ou agressés. »

Le personnel infirmier qui œuvre au service des communautés vulnérables dans les régions les plus pauvres du monde est également particulièrement exposé au risque de contracter le Covid-19. Pour Annette Kennedy, le fait que l'année 2020 ait été désignée « année internationale des sages-femmes et du personnel infirmier » par l'Assemblée mondiale de la Santé est une marque de reconnaissance on ne peut plus visionnaire.

Les équipements de protection individuelle, ou EPI, sont indispensables pour les personnels de santé, qui devraient être les premiers à en bénéficier. En outre, il est urgent de garantir la mise à disposition et l'accessibilité de ces équipements et d'autres fournitures médicales dans les pays à faible revenu et dans les pays en conflit. Cela passe par la prise de mesures à l'échelon national et par une coopération intergouvernementale.

Dans les pays les plus durement touchés par la pandémie mais où les systèmes de santé fonctionnent de façon assez satisfaisante, environ dix pour cent des professionnels de la santé ont contracté le Covid-19 – un taux extrêmement élevé mais probablement en dessous de la réalité. Dans les endroits où le système de santé est déjà mis à rude épreuve par les conflits ou un manque d'investissements de longue date, ce chiffre pourrait être encore plus important.

La Croix-Rouge et le Croissant-Rouge et le Conseil International des Infirmières demandent aux gouvernements de s'engager à assurer la protection et la sécurité du personnel infirmier et des autres personnels de santé, en particulier dans les contextes aux ressources limitées ou en proie à une catastrophe ou un conflit. Ce n'est qu'en préservant la santé et la sécurité des professionnels de la santé que nous – collectivités et communauté internationale – pourrons fournir une prise en charge médicale efficace à l'heure du Covid-19.

Informations complémentaires

Aurélie Lachant, Comité international de la Croix-Rouge
+41 79 244 64 05 ou alachant@icrc.org

Laura Ngô-Fontaine, Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge
+41 79 570 44 18 ou laura.ngofontaine@ifrc.org

Gyorgy Madarasz, Conseil international des infirmières
+41 22 908 01 16 ou madarasz@icn.ch

jeudi 12 mars 2020

Coronavirus : Premier décès en Algérie
















L’Algérie a enregistré le premier cas de décès du au coronavirus, annonce le jeudi 12 mars 2020 la radio nationale qui cite un communiqué du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière.

 Le pays a également enregistré cinq nouveaux cas du coronavirus, pour atteindre au total 24 personnes atteintes du Covid-19 en Algérie.
Il s’agit de deux cas ayant séjourné en France, l’un est hospitalisé dans le wilaya de Souk-Ahras, l’autre dans la wilaya de Tizi-Ouzou, et trois dans la wilaya de Blida, précise la même source.

Le ministère de la Santé a indiqué dans le même communiqué que le pays « a enregistré le soir de mercredi 11 mars 2020, la sortie de huit (8) patients guéris qui étaient en isolement à l’EPH de Boufarik », ajoutant qu' »à ce jour, 638 tests de diagnostic sont revenus négatifs sur les 662 effectués par l’Institut Pasteur d’Algérie ».

Le ministère à souligné que « l’enquête épidémiologique se poursuit pour retrouver et identifier toutes les personnes contacts », précisant que le dispositif de veille et d’alerte mis en place « demeure en vigueur et la mobilisation des équipes de santé reste à son plus haut niveau ».

Pour rappel, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a qualifié hier mercredi l’épidémie du coronavirus, qui a affecté plus de 110.000 personnes dans le monde, de « pandémie », mais a assuré qu’elle pouvait « être contrôlée ».
www.algerie-eco.com

mardi 4 février 2020

Dépression et cancer : la double peine
















Publié le 1 févr. 2020
Pour les patients en phase terminale de cancer, l'état de leur santé mentale n'est pas sans incidence sur la façon dont ils sont pris en charge à l'hôpital, révèle une nouvelle étude. 

La santé mentale des patients en phase terminale de cancer impacterait-elle négativement leur prise en charge oncologique ? C'est la question que le Dr Guillaume Fond, psychiatre et médecin de santé publique à l'hôpital La Conception à Marseille, s'est posée avec son équipe de chercheurs. Et la réponse, explicitée dans une étude publiée dans le « Journal of Affective Disorders », est un scandaleux «oui» !
Les chercheurs marseillais avaient déjà constaté ce révoltant « deux poids, deux mesures » s'agissant des schizophrènes, montrant que ceux-ci, lorsqu'ils entraient en phase terminale de cancer, étaient adressés plus rapidement en soins palliatifs et bénéficiaient de moins de chirurgie, de chimiothérapie et d'actes d'imagerie que les autres malades sans trouble mental.
Etude sur plus de 4.000 patients
La nouvelle étude montre que cet état de fait n'est pas spécifique à la schizophrénie et concerne aussi la dépression. Pour établir ce résultat, les auteurs ont passé au crible les données relatives à plus de 4.000 patients souffrant de formes sévères et récurrentes de dépression, les comparant à celles de 22.000 patients non dépressifs décédés par cancer entre 2013 et 2016 dans notre pays.
Le résultat est sans appel. Les patients dépressifs reçoivent moins de chimiothérapie, de nutrition artificielle, de dialyse, de transfusion, de chirurgie, d'endoscopie, d'actes de haute intensité et d'admission en service d'urgence dans le mois qui précède le décès. Lequel survient, en moyenne, trois ans plus tôt.
Yann Verdo
Les Echos

Lymphome de Hodgkin : un traitement plus efficace et moins toxique fait ses preuves aux États-Unis

  Delphine Chayet annonce en effet dans Le Figaro qu’« un essai clinique montre les bénéfices de l’association d’une immunothérapie et d’une...