Si le personnel infirmier a longtemps recherché l’autonomie avec laquelle nous exerçons aujourd’hui, et s’est battu encore plus longtemps pour transcender les stéréotypes archaïques, il est essentiel de ne pas se servir les uns des autres comme moyen d’acquérir de la crédibilité individuelle si cela se fait au détriment de l’ensemble de la profession et des patients auxquels nous fournissons des soins.
Messages à retenir
Les infirmières et infirmiers sont victimes de violence latérale alimentée par une hiérarchie perçue, ce qui semble indiquer qu’ils sont classés par ordre d’importance en fonction de la valeur sociale de leur population de patients.
La hiérarchie entre les domaines de soins et les spécialités infirmières ne reflète pas précisément la valeur essentielle de chaque rôle infirmier afin de maintenir l’interdépendance fonctionnelle du système de santé. La pandémie de COVID‑19 a révélé cette notion.
Pour favoriser l’empathie et réduire les conflits, les dirigeants des soins infirmiers devraient envisager la formation polyvalente du personnel, ce qui présenterait des avantages secondaires en cas de crise liées à la dotation du personnel.
Chaque jour, les infirmières et infirmiers sont témoins de traumatismes, de maladies et de souffrances. Malheureusement, nous nous infligeons aussi mutuellement des souffrances sous forme de violence latérale et d’intimidation. L’expression proverbiale « manger nos jeunes » est une analogie troublante pour décrire ce phénomène.
La violence latérale est une cause bien connue du roulement, de l’épuisement professionnel et de la détérioration de la santé mentale du personnel infirmier, et voire de l’abandon de la profession (Embree et White, 2010). Ce sont des victimes à qui l’on pourrait éviter de faire du tort, surtout si on considère la pénurie nationale d’infirmières et infirmiers qui s’aggrave avec la pandémie actuelle de COVID‑19.
Nous reprochons tout de même à nos nouveaux diplômés leur manque d’expérience et de compétences pratiques, tout comme nous critiquons nos supérieurs pour leurs pratiques archaïques et leur amertume présumée. Nous ne tenons pas compte de la passion et de l’enthousiasme des nouveaux infirmières et infirmiers, ainsi que de l’expérience et du dévouement des professionnels chevronnés, au grand détriment des soins aux patients et du bien‑être du personnel.
Outre la violence latérale au sein d’une équipe de soins infirmiers, un conflit tout aussi destructeur a cours entre les infirmières et infirmiers de différentes spécialités et de différents domaines de soins. Ce conflit intraprofessionnel entre les membres du personnel infirmier est présent à un niveau systémique et menace d’entacher la valeur collective de notre profession. Souvent ignoré, le conflit entre les domaines de soins infirmiers et les sous-spécialités est endémique et risque de compromettre le rôle crucial de chaque infirmière et infirmier dans le maintien des fonctions du système de santé.
La force motrice de ce conflit est une hiérarchie intraprofessionnelle semblant indiquer que les infirmières et infirmiers sont classés en fonction de la valeur sociale perçue de la population à laquelle ils fournissent des soins. Cependant, la pandémie de COVID-19 a mis en évidence les infirmières et infirmiers qui ne sont pas considérés et qui sont sous‑évalués autant par leurs pairs que par la société. La reconnaissance de ces préjugés nous permet de lutter contre l’intimidation toxique entre les membres du personnel infirmier dans l’espoir de promouvoir le changement et de renforcer notre valeur collective en tant que fournisseurs de soins de santé essentiels.
Une hiérarchie des soins infirmiers fondée sur la valeur sociale stigmatisée des patients
Malgré l’interconnexion entre les équipes de soins de santé disparates, les hiérarchies créées par des préjugés sociaux ancrés persistent et alimentent les conflits entre les équipes de soins infirmiers, en plus d’avoir des effets systémiques néfastes.
Au sein de la communauté infirmière, on croit que la valeur de l’infirmière ou de l’infirmier est en corrélation avec la valeur prescrite par la société qui est attribuée à la population à laquelle elle ou il fournit des soins. Conformément aux préjugés sociaux concernant la santé mentale et la toxicomanie, les infirmières et infirmiers psychiatriques sont souvent traités avec condescendance comme cédant aux exigences des « toxicomanes », dorlotant ceux qui « surchargent » le système en raison de leur incapacité à s’adapter ou souffrant des mêmes maladies stigmatisées qu’ils traitent. Les maladies mentales touchent de façon disproportionnée les populations marginalisées, les personnes de couleur et la communauté des LGBT2Q+. Il n’est donc pas surprenant que le rôle des infirmières et infirmiers qui prodiguent des soins à ces populations soit également marginalisé.
Nous entendons des opinions semblables sur le personnel infirmier qui fournit des soins aux résidents en établissement de soins de longue durée (SLD). En tant que terminal des soins de santé, les SLD représentent la destination des patients pour lesquels les soins communautaires ne suffisent pas, et où les soins actifs et les soins palliatifs ne sont pas une nécessité en temps opportun.
Pendant des années, on a retiré le financement des SLD et on les a ignorés (comme les soins aux aînés en général), qui ne sont même pas définis comme un service essentiel en vertu de la Loi canadienne sur la santé. Ces points de vue sont imprégnés dans la culture des soins infirmiers, même dès les études en sciences infirmières, où la plupart des étudiants s’efforcent de trouver des stages dans les unités de soins de courte durée au rythme rapide.
Ces croyances sont tellement répandues au sein de la communauté infirmière que l’Association des infirmières et infirmiers autorisés de l’Ontario a créé une page Web pour dissiper les mythes courants sur le travail en SLD, notamment ceci : « Je vais perdre mes compétences si je me lance dans les SLD » et « les résidents vont en SLD pour mourir » (Young, 2018). Les soins infirmiers gériatriques exigent une quantité phénoménale de compétences et une gestion exceptionnelle du temps afin de concilier les besoins complexes en matière de soins ainsi que la dignité et la qualité de vie. Il s’agit d’un domaine des soins infirmiers qui connaît une hausse stable des besoins en matière d’acuité et de soins aux patients, dans des contextes où le financement de première ligne est considérablement réduit, les ressources sont limitées et les résidents sont souvent perçus comme non indispensables.
Pourquoi une nouvelle infirmière choisirait-elle de travailler dans un domaine constamment dévalorisé par la société en général et par ses pairs? Non seulement ces préjugés minent la valeur de certains rôles et spécialités particuliers des soins infirmiers au sein de l’équipe organisationnelle, mais ils érodent la confiance envers la pratique infirmière, incite à des comportements perturbateurs entre les équipes de soins infirmiers et perpétuent les préjugés sociaux concernant la valeur de populations particulières.
Les soins infirmiers gériatriques exigent une quantité phénoménale de compétences et une gestion exceptionnelle du temps afin de concilier les besoins complexes en matière de soins en avec la dignité et la qualité de vie.
Les répercussions positives et négatives des médias sociaux
Les stéréotypes infirmiers particuliers aux domaines des soins (#nursememes) abondent dans les médias sociaux. Ils vont de la légèreté (moqueries au sujet des excentricités et situations où nous nous disons « c’est reparti ») à la dégradation, où les équipes de soins infirmiers sont vilipendées par des stéréotypes comme leur prétention, leur manque de « vraies » compétences infirmières ou même leur insignifiance envers la profession.
Les conservateurs de contenus, qu’ils le sachent ou non, jouent un rôle d’influenceurs dans la culture des soins infirmiers partout dans le monde, à l’extérieur du cadre professionnel. Bref, ils sont la voix infirmière à l’extérieur des limites du professionnalisme et de la rectitude politique.
Dès les premiers jours de l’intervention nord‑américaine contre la COVID‑19, de nombreux profils #nursememes étaient des points de ralliement favorisant la solidarité entre les infirmières et infirmiers de partout dans le monde qui se sentaient en danger et ignorés, alors qu’ils étaient confrontés à une pénurie d’équipement de protection individuelle (EPI), à une aggravation des crises en matière de dotation du personnel et à des organismes dirigeants inconscients ou négligents. Toutefois, même si ces publications sur les médias sociaux nous unissent par une catharsis notable (souvent incroyable) dans certaines situations, en cas d’insécurité et pour justifier nos modèles de comportement, bon nombre continuent aussi à répandre involontairement de la violence latérale en perpétuant des hiérarchies toxiques en soins infirmiers.
La COVID-19 a mis en évidence des rôles sous-estimés en soins infirmiers et a renforcé notre interdépendance
Le risque d’exposition à la COVID-19 s’est accru dans certains domaines de soins, comme les unités de soins intensifs (USI), le service des urgences et les SLD. Bien qu’ils ne soient pas intentionnellement sous‑déclarés, d’autres domaines de soins maintiennent des risques d’exposition élevés en raison du type de patients, comme en médecine-chirurgie, en soins de santé mentale et en soins communautaires. Il s’agit des mêmes rôles infirmiers que ceux qui fournissent des soins aux personnes marginalisées « non indispensables » de la société.
Les soins dispensés par le personnel infirmier évitent que les patients ne contractent ou ne propagent le virus ou bien qu’ils ne décompensent et ne surchargent les USI et le service des urgences au Canada. Par conséquent, le personnel infirmier en soins pour affections subaiguës est essentiel pour empêcher de surcharger le service des urgences et les salles d’USI. Aucune unité n’est une île; les infirmières et infirmiers comptent les uns sur les autres pour que le système fonctionne.
Le virus se propage rapidement dans les zones de rassemblement comme les SLD et les refuges, et au sein de leurs populations vulnérables qui doivent lutter pour respecter les mesures de sécurité, comme la distanciation sociale, en raison des restrictions liées à l’état de la santé mentale, aux capacités physiques et à la marginalisation socioéconomique. Le personnel infirmier qui travaille sans relâche pour réduire la transmission au sein de ces populations remplit alors un rôle essentiel afin de préserver notre capacité hospitalière en soins actifs.
Les infirmières et infirmiers répondent à l’appel de la société en fournissant des soins aux personnes plus vulnérables : les aînés, les itinérants de même que les personnes handicapées et immunodéficientes. Les cyniques excluent cette fonction indispensable, affirmant que le virus touchera seulement les populations apparemment non indispensable. Mais, leurs proches leur ont répondu « votre seulement est tout ce qui compte pour moi ». Les infirmières et infirmiers œuvrant dans ces domaines ne se contentent pas de fournir des soins et de défendre les droits des personnes plus vulnérables, ils préservent également le service des urgences et les unités de soins intensifs de la surcharge de travail.
Très peu d’infirmières ou d’infirmiers, voire aucun d’entre eux, ne seraient étonnés par les rapports de l’armée sur l’état des établissements de soins de longue durée au Canada. Nous avons sonné l’alarme concernant la négligence flagrante du ministère de la Santé de l’Ontario en matière de surveillance et de contrôle de la qualité entourant des enjeux longue date (Association des infirmières et infirmiers autorisés de l’Ontario, 2020). Le rapport Wettlaufer (Gillese, 2019) décrit comment la surveillance systémique choquante a entraîné des préjudices pour 14 personnes ou leur mort dans plusieurs établissements. Les patients de notre secteur des SLD sont susceptibles de subir des préjudices de diverses façons en raison de leurs vulnérabilités biopsychosociales, en dépit du risque supplémentaire lié à un environnement mal géré.
La défense des droits de nos proches vulnérables et de nos collègues infirmiers qui leur prodiguent des soins doit rejaillir sur nos interactions avec eux et à leur sujet et dans lesquelles la compassion, le respect et la confiance figurent au premier plan. La pandémie de COVID-19 a mis en lumière les difficultés auxquelles sont confrontées nos équipes de soins infirmiers sous-estimées, combien elles sont essentielles à la stabilité de notre système de santé, mais aussi combien chaque rôle infirmier est tout aussi vital pour le maintien de la force de la profession infirmière au sein de ce système.
Les conflits en cours touchent le personnel infirmier, les patients et notre crédibilité professionnelle
Tout comme une communauté, les secteurs disparates des soins de santé ne peuvent pas fonctionner de façon indépendante. Aucun secteur ou clinicien n’est plus important que les autres, et les professionnels qui ne peuvent pas reconnaître leurs limites constituent un risque pour les personnes auxquelles ils fournissent des soins. La confiance, le respect et la reconnaissance de ceux qui ont des compétences différentes des nôtres permettent au système de fonctionner.
Malheureusement, le manque d’un tel respect et les répercussions connexes de la violence latérale entre les domaines de soins sont répandus. On sait que la violence latérale touche négativement les résultats cliniques sur les patients (Embree et White, 2010). L’intimidation et la violence latérale entraînent une augmentation des dépenses liées aux soins de santé, le roulement du personnel, l’épuisement professionnel et un environnement toxique qui perpétue davantage ce comportement. Enfin, ces comportements menacent la légitimité de la profession dans le cadre des soins de santé interdisciplinaires.
L’effet durable de la violence latérale intraprofessionnelle sur la légitimité de la profession entre les équipes de soins infirmiers n’échappe pas aux autres professionnels. Si le personnel infirmier a longtemps recherché l’autonomie avec laquelle nous exerçons aujourd’hui, et s’est battu encore plus longtemps pour transcender les stéréotypes archaïques, il est essentiel de ne pas se servir les uns des autres comme moyen d’acquérir de la crédibilité individuelle si cela se fait au détriment de l’ensemble de la profession et des patients auxquels nous fournissons des soins.
Le développement d’une relation de confiance réciproque entre les équipes permettra aux infirmières et infirmiers de mieux reconnaître l’ensemble des compétences et les défis uniques de leurs partenaires intraprofessionnels.
Formation polyvalente des infirmières et infirmiers comme moyen de lutter contre la violence latérale
Malheureusement, la violence latérale est courante parmi les infirmières et infirmiers, et les nouveaux diplômés y sont particulièrement vulnérables. La cause est complexe et multifactorielle. Néanmoins, il existe une mine d’information pour les dirigeants des services infirmiers sur la gestion du conflit intraprofessionnel parmi le personnel infirmier. Les enseignants devraient intégrer des simulations et des techniques d’adaptation interpersonnelle à la formation en sciences infirmières (Sanner-Stiehr et Ward-Smith, 2017).
Toutefois, nous suggérons également aux dirigeants d’aborder directement les sources de violence latérale. En confrontant la stigmatisation des populations de patients, les équipes intraprofessionnelles peuvent remettre en question cette hiérarchie toxique des soins infirmiers. Une réaction empathique, fondée sur les politiques en matière de pratiques exemplaires, devrait être envisagée par les gestionnaires et les enseignants en soins infirmiers. Les infirmières et infirmiers signalent le plus souvent des conflits lors du transfert des soins et du transfert entre hôpitaux (ainsi que lors de la sortie de l’hôpital et du rapatriement). Il s’agit de points de convergence des risques pour la sécurité des patients pendant tout le continuum de soins (Ong, 2011).
Le développement d’une relation de confiance réciproque entre les équipes permettra aux infirmières et infirmiers de mieux reconnaître l’ensemble des compétences et les défis uniques de leurs partenaires intraprofessionnels (Jerng et coll., 2017). Nous suggérons de les former de façon polyvalente au sein des équipes avec lesquelles ils interagissent, dès le processus d’embauche. Le fait de connaître la charge de travail, les politiques et les normes de soins de nos collègues favorisera l’empathie, la confiance et le transfert sûr des responsabilités. De même, une formation polyvalente permettra de mieux comprendre les difficultés (et l’accomplissement) que représente le travail auprès de la population en question et garantira qu’aucun rôle infirmier ne soit sous-estimé.
La formation polyvalente des infirmières et infirmiers offre l’avantage secondaire de disposer d’un bassin de dotation en personnel plus important en cas de crise (Paul et MacDonald, 2014), comme au cours de la pandémie de COVID-19 actuelle. La dotation en personnel infirmier est en corrélation non seulement avec les résultats cliniques et la sécurité des patients (Duffield et coll., 2011), mais aussi avec notre propre santé mentale et le taux d’épuisement professionnel (Embree et White, 2010).
La formation polyvalente devient difficile lorsque les équipes voisines présentent une différence considérable dans les besoins en matière d’acuité et de formation des patients. Dans ces cas, une orientation moins approfondie ou un apprentissage par observation pourrait avoir le même effet que d’établir un lien positif et compatissant ainsi que d’atténuer la violence latérale intraprofessionnelle, tout en sacrifiant le gain secondaire que représente une équipe volante supplémentaire.
Dans l’ensemble, nous estimons qu’une conversation orientée et cohérente entre les équipes de soins infirmiers permettra de créer une culture fondée sur les points forts, où la diversité, l’apprentissage, la reconnaissance et les éloges feront partie régulièrement des interactions intraprofessionnelles quotidiennes.
Conclusion
Les infirmières et infirmiers constituent le groupe clinique le plus nombreux, nos sous‑spécialités et nos domaines de soins généraux représentant la plus grande communauté de soins de santé. Notre capacité à assumer chaque rôle distinct dépend de l’existence et de la compétence de nos pairs qui exercent dans d’autres domaines. Cette diversité nous permet d’utiliser notre savoir-faire de façon constructive, là où l’efficacité, l’innocuité et la qualité sont optimisées.
La pandémie de COVID-19 a non seulement mis en lumière les membres de notre société qui sont exceptionnellement vulnérables aux maladies infectieuses, à la marginalisation et à la négligence, mais elle a également souligné la valeur collective des infirmières et infirmiers et notre fonction indispensable dans tout le continuum de soins pour assurer le fonctionnement du système de santé.
Selon une analyse quantitative exhaustive, le Canada se classe au 12e rang mondial en matière de santé et de stabilité économique et sociale dans le contexte de la pandémie de COVID‑19 (COVID-19 Regional Safety Assessment, 2020). Tirons des leçons de cet événement historique, car notre lutte contre le virus ne pourra pas se poursuivre sans une unification et une collaboration constantes au sein de la profession infirmière.
Références
Association des infirmières et infirmiers autorisés de l’Ontario. (28 mai 2020). RNAO calls for immediate action in response to the Canadian Armed Forces’ LTC report with Minister Fullerton’s July 31 report to legislature. Tiré de https://rnao.ca/news/media-releases/rnao-calls-immediate-action-response-canadian-armed-forces-ltc-report-minister
COVID-19 Regional Safety Assessment. (23 août 2020). Tiré de https://www.dkv.global/covid-safety-assessment-250-regions
Duffield, C., Diers, D., O’Brien-Pallas, L., Aisbett, C., Roche, M., King, M. et Aisbett, K. (2011). « Nursing staffing, nursing workload, the work environment and patient outcomes », Applied Nursing Research, 24(4), 244–255.
Embree, J. L. et White, A. H. (2010). « Concept analysis: Nurse‐to‐nurse lateral violence », Nursing Forum, (45)3, 166–173.
Gillese, E. (2019). Enquête publique sur la sécurité des résidents des foyers de soins de longue durée. Tiré de https://longtermcareinquiry.ca/fr/rapport-final/
Jerng, J. S., Huang, S. F., Liang, H. W., Chen, L. C., Lin, C. K., Huang, H. F., ... et Sun, J. S. (2017). « Workplace interpersonal conflicts among the healthcare workers: Retrospective exploration from the institutional incident reporting system of a university-affiliated medical center », PLOS ONE, 12(2), e0171696.
Ong, M. S. et Coiera, E. (2011). « A systematic review of failures in handoff communication during intrahospital transfers », Joint Commission Journal on Quality and Patient Safety, 37(6), 274–284.
Paul, J. A. et MacDonald, L. (2014). « Modeling the benefits of cross-training to address the nursing shortage ». International Journal of Production Economics, 150, 83–95.
Sanner-Stiehr, E. et Ward-Smith, P. (2017). « Lateral violence in nursing: Implications and strategies for nurse educators ». Journal of Professional Nursing, 33(2), 113–118.
Young, L. (2018). « 7 Myths about long-term care nursing — busted ». Tiré de https://rnao.ca/news/blog/7-myths-about-long-term-care-nursing-busted
Anthony Renda, M. Sc., B. Sc. inf., est infirmier autorisé au McMaster Children’s Hospital à Hamilton, en Ontario. Il est également professeur agrégé à la School of Health & Life Sciences du Conestoga College et est un chercheur indépendant actif. M. Renda habite à Guelph, en Ontario, avec sa famille.
Tara Endeman, inf. aut., B. Nurs., MPN, CSPSM(C), est infirmière clinicienne spécialisée au Homewood Health Centre et au Guelph General Hospital à Guelph, en Ontario. Son mémoire de recherche porte sur la préparation éducative des infirmières et infirmiers autorisés travaillant dans le domaine de la santé mentale et de la toxicomanie en Ontario. Mme Endeman habite à Guelph, en Ontario, avec son partenaire Alex.
https://www.infirmiere-canadienne.com/