Les Echos, Le Figaro
Les Echos indique en effet qu’« après l'onde de choc provoquée par le scandale du Mediator, qui l'oblige à une prudence extrême, l'Afssaps a émis, en fin de semaine dernière, une mise en garde contre les dangers de deux pilules dédiées au traitement du surpoids et de l'obésité ».
« D'autant plus que la première, baptisée Alli et commercialisée en France depuis mai 2009 par GlaxoSmithKline Santé Grand Public, est délivrée en pharmacie sans prescription médicale. Même si elle fait l'objet d'un suivi national de pharmaco-vigilance depuis son lancement », observe le journal. Le quotidien précise que « le second médicament visé par l'alerte de l'Afssaps, le Xenical, qui est distribué dans l'Hexagone par Roche depuis septembre 1998, est délivré sur ordonnance ».
Les Echos explique que ces traitements « contiennent une même substance active, l'orlistat, qui est soupçonnée de provoquer des atteintes hépatiques, certes rares, mais graves. Plusieurs cas auraient été rapportés chez des patients traités avec l'orlistat, conduisant à une transplantation hépatique, voire au décès ».
Le journal note que « si le lien de causalité reste difficile à établir, il ne peut être écarté », et relève que « face à la gravité des effets secondaires potentiels, l'Agence européenne du médicament a décidé de réévaluer le rapport bénéfice/risque de ces deux spécialités. En attendant les résultats de cette réévaluation, l'Afssaps préfère donc jouer la transparence ».
Le Figaro relaie également cette « alerte sur Alli et Xenical », observant que « les autorités sanitaires devront désormais y réfléchir à deux fois avant de mettre sur le marché des médicaments destinés à lutter contre l’obésité : toutes les molécules visant à faire maigrir ont fini par être retirées du marché, du fait de leurs effets secondaires ».
www.mediscoop.net
Les Echos indique en effet qu’« après l'onde de choc provoquée par le scandale du Mediator, qui l'oblige à une prudence extrême, l'Afssaps a émis, en fin de semaine dernière, une mise en garde contre les dangers de deux pilules dédiées au traitement du surpoids et de l'obésité ».
« D'autant plus que la première, baptisée Alli et commercialisée en France depuis mai 2009 par GlaxoSmithKline Santé Grand Public, est délivrée en pharmacie sans prescription médicale. Même si elle fait l'objet d'un suivi national de pharmaco-vigilance depuis son lancement », observe le journal. Le quotidien précise que « le second médicament visé par l'alerte de l'Afssaps, le Xenical, qui est distribué dans l'Hexagone par Roche depuis septembre 1998, est délivré sur ordonnance ».
Les Echos explique que ces traitements « contiennent une même substance active, l'orlistat, qui est soupçonnée de provoquer des atteintes hépatiques, certes rares, mais graves. Plusieurs cas auraient été rapportés chez des patients traités avec l'orlistat, conduisant à une transplantation hépatique, voire au décès ».
Le journal note que « si le lien de causalité reste difficile à établir, il ne peut être écarté », et relève que « face à la gravité des effets secondaires potentiels, l'Agence européenne du médicament a décidé de réévaluer le rapport bénéfice/risque de ces deux spécialités. En attendant les résultats de cette réévaluation, l'Afssaps préfère donc jouer la transparence ».
Le Figaro relaie également cette « alerte sur Alli et Xenical », observant que « les autorités sanitaires devront désormais y réfléchir à deux fois avant de mettre sur le marché des médicaments destinés à lutter contre l’obésité : toutes les molécules visant à faire maigrir ont fini par être retirées du marché, du fait de leurs effets secondaires ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire