Les Echos
Les Echos indique en effet que « les recherches réalisées par des chercheurs américains du Southwestern Medical Center de Dallas confirment le rôle clef de [la ghréline] dans la prise alimentaire ».
Le journal explique que les chercheurs, qui publient leurs travaux dans le Journal of Clinical Investigation, « ont travaillé avec des souris soumises à un stress permanent lié à la présence d'un mâle dominant. Des rongeurs sauvages placés dans cet environnement compensaient ce handicap en sélectionnant délibérément des nourritures grasses et très caloriques ».
« Les chercheurs ont démontré que le stress chronique engendré par la présence d'un chef pesant déclenche la production de ghréline, induisant un appétit excessif puis l'obésité », continue le quotidien, qui ajoute que « ces travaux ne précisent pas si cette compensation se produit également chez les humains opprimés par un chef pesant et autoritaire ».
Les Echos indique en effet que « les recherches réalisées par des chercheurs américains du Southwestern Medical Center de Dallas confirment le rôle clef de [la ghréline] dans la prise alimentaire ».
Le journal explique que les chercheurs, qui publient leurs travaux dans le Journal of Clinical Investigation, « ont travaillé avec des souris soumises à un stress permanent lié à la présence d'un mâle dominant. Des rongeurs sauvages placés dans cet environnement compensaient ce handicap en sélectionnant délibérément des nourritures grasses et très caloriques ».
« Les chercheurs ont démontré que le stress chronique engendré par la présence d'un chef pesant déclenche la production de ghréline, induisant un appétit excessif puis l'obésité », continue le quotidien, qui ajoute que « ces travaux ne précisent pas si cette compensation se produit également chez les humains opprimés par un chef pesant et autoritaire ».
www.mediscoop.net
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