Bien que banale aujourd'hui, la décision de subir une opération de chirurgie esthétique ne se prend pas à la légère. Cette quête de beauté physique, étroitement liée à l'image de soi et à d'autres facteurs psychologiques, doit aussi être évaluée par rapport aux risques psychologiques.
Des risques physiques bien connus
Il s'agit en tout premier des risques attachés à l'anesthésie, qu'elle soit locale ou générale, qui est nécessaire pour effectuer toute opération. Mais aussi les problèmes éventuels de cicatrisation - même si certaines techniques permettent aujourd'hui de les diminuer au maximum, les réactions de la peau sont difficiles à prévoir - ou d'infection.
La chirurgie esthétique est aussi un risque psychologique
Dans son livre "La beauté sur mesure", Francoise Millet-Bartoli se penche sur les aspects psychologiques de la chirurgie esthétique, et sur les risques psychologiques qui existent lorsque l'on choisir de faire modifier son apparence extérieure.
Le premier risque est d'aggraver un trouble qui existerait déjà avant l'opération. Si l'envie d'avoir enfin un nez droit et sans défaut est en fait la manifestation d'une dépression sous-jacente, la chirurgie esthétique n'améliorera pas la situation, et risque même, en perturbant la perception de soi, d'aggraver le problème. Il arrive que les patients opérés ne se reconnaissent plus dans leur nouveau physique, même après un changement mineur; le risque est alors qu'ils continuent à se faire opérer encore et encore, puisque leur visage "de référence" a disparu.
Le premier risque est d'aggraver un trouble qui existerait déjà avant l'opération. Si l'envie d'avoir enfin un nez droit et sans défaut est en fait la manifestation d'une dépression sous-jacente, la chirurgie esthétique n'améliorera pas la situation, et risque même, en perturbant la perception de soi, d'aggraver le problème. Il arrive que les patients opérés ne se reconnaissent plus dans leur nouveau physique, même après un changement mineur; le risque est alors qu'ils continuent à se faire opérer encore et encore, puisque leur visage "de référence" a disparu.
Des questions à se poser avant...
Catherine Millet-Bartoli, psychiatre et psychothérapeute, conseille quelques questions à se poser avant de prendre la décision de passer sur le billard pour corriger un nez, une poitrine trop menue ou un visage qui s'affaisse légèrement. D'abord, sur le moment où l'on ressent le besoin de se faire opérer: en quoi le défaut était-il gênant jusque là? Le besoin de changer son physique n'est-il pas lié à des difficultés autres (professionnelles, familiales ou autres)? Plus important encore, même si l'opération de chirurgie esthétique donne le résultat attendu, elle entraînera un stress très fort - le moment est-il approprié pour cela?
www.e-sante.be
tu ne dors pas Bouktache?! je vois que cet article est publié à 3h du matin!
RépondreSupprimerلو نمت بالليل لضيعت حق الله و لو نمت بالنهار لضيعت حق الرعية: فاروق الأمة عمر بن الخطاب
RépondreSupprimerRien A Dire!
RépondreSupprimerBouktache toi aussi tu es devenu un démon!!lol La chirurgie plastique soit réussie, le candidat qui désire avoir quelques modifications doit avoir un profil psychologique adéquat. Dans le cas contraire, un patient qui ne possède pas ce genre de profil pourra être victime de graves excès de sa part et même de négligences de la part du chirurgien qui pourraient s’avérer fatales. Du côté du chirurgien qui opère le patient, celui-ci devra aussi faire part d’une très grande attention à l’égard de son client. Il devra, tant sur le plan technique que psychologique, faire part d’un très grand professionnalisme. Dans le cas contraire, le médecin pourra commettre de tragiques erreurs qui pourront gravement marquer le patient. Dans les deux cas, le patient sera la proie de graves méfaits psychologiques et il devra apprendre à vivre avec les conséquences qui s’y rattachent.
RépondreSupprimercertains aiment, d’autres n’aiment pas et même parfois regrettent les résultats tant espérés. Tout de même, dans chaque cas, les patients devront apprendre à vivre avec leurs modifications, qu’elles soient à la hauteur de leurs attentes ou non. De plus, la relation que détient un patient envers son chirurgien devra être très rectiligne. De son côté, le chirurgien devra faire preuve de professionnalisme à l’égard de son patient, qui lui devra avoir des attentes restreintes aux possibilités que la réalité et la physionomie de son corps lui présentent. Celui-ci devra détenir des exigences qui demeurent dans l’univers du possible.
a mon avis, y' a pas plus beau qu'etre naturelle.
Simsima...