Le Parisien
A l’occasion de la Semaine du cerveau, Le Parisien aborde le « défi médical de ce siècle : réussir un jour à guérir les maladies cérébrales ». Le journal fait « le point sur les pistes les plus prometteuses ».Le quotidien se penche d’abord sur la maladie d’Alzheimer, « une maladie qui touche déjà près de 900 000 Français, et devrait en frapper 1,2 million en 2020. Mais, en termes de traitement, Alzheimer reste quasiment une maladie orpheline ».Le Parisien note que « les chercheurs comprennent bien les mécanismes d’Alzheimer […] mais pas la cause », et indique qu’« à la Salpêtrière, on veut prévoir » la maladie.
Bertrand Fontaine, directeur scientifique de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière, qui vient d’ouvrir au sein de l’établissement parisien, remarque : « On est encore très, très loin du but, mais notre challenge est d’arriver à détecter, avec l’imagerie, la biologie et les tests cognitifs, la maladie avant les symptômes ».
« L’idée serait d’intervenir avant la mort neuronale avec un médicament qui bloquerait la maladie. On ne guérirait pas mais on ralentirait de manière significative la maladie et donc le handicap », ajoute le chercheur.
Le Pr Fontaine aborde également « des pistes contre les accidents vasculaires cérébraux », comme la stimulation magnétique transcrânienne, qui « permet de réactiver des zones du cerveau qui ne sont normalement pas activées ».Le Parisien note en outre qu’« une équipe de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil travaille sur l’amélioration de patients parkinsoniens en leur donnant de la nicotine », ou encore revient sur les cellules souches, « la médecine de tous les fantasmes ».
A l’occasion de la Semaine du cerveau, Le Parisien aborde le « défi médical de ce siècle : réussir un jour à guérir les maladies cérébrales ». Le journal fait « le point sur les pistes les plus prometteuses ».Le quotidien se penche d’abord sur la maladie d’Alzheimer, « une maladie qui touche déjà près de 900 000 Français, et devrait en frapper 1,2 million en 2020. Mais, en termes de traitement, Alzheimer reste quasiment une maladie orpheline ».Le Parisien note que « les chercheurs comprennent bien les mécanismes d’Alzheimer […] mais pas la cause », et indique qu’« à la Salpêtrière, on veut prévoir » la maladie.
Bertrand Fontaine, directeur scientifique de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière, qui vient d’ouvrir au sein de l’établissement parisien, remarque : « On est encore très, très loin du but, mais notre challenge est d’arriver à détecter, avec l’imagerie, la biologie et les tests cognitifs, la maladie avant les symptômes ».
« L’idée serait d’intervenir avant la mort neuronale avec un médicament qui bloquerait la maladie. On ne guérirait pas mais on ralentirait de manière significative la maladie et donc le handicap », ajoute le chercheur.
Le Pr Fontaine aborde également « des pistes contre les accidents vasculaires cérébraux », comme la stimulation magnétique transcrânienne, qui « permet de réactiver des zones du cerveau qui ne sont normalement pas activées ».Le Parisien note en outre qu’« une équipe de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil travaille sur l’amélioration de patients parkinsoniens en leur donnant de la nicotine », ou encore revient sur les cellules souches, « la médecine de tous les fantasmes ».
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