Le Parisien, Les Echos, L’Express
Le Parisien note en bref que « le traitement administré tôt à une personne infectée par le VIH l’empêche dans plus de 96% des cas de transmettre l’infection, ce qui pourrait conduire à l’éradication de l’épidémie, selon une étude phare rendue publique hier à Rome », lors de la « 6ème conférence de l'IAS [International Aids Society] sur la pathogenèse du VIH, le traitement et la prévention ».Le quotidien observe que « les 5 500 scientifiques réunis dans la capitale italienne ont applaudi ces résultats, qui pourraient transformer le profil de la maladie ».Les Echos constate également que « l'utilisation du traitement antirétroviral contre la transmission de l'infection au VIH est encore plus efficace qu'annoncé ».Le journal explique que « cette étude HPTN 052, conduite dans 9 pays, avait été rendue publique en mai. Elle portait sur 1.763 couples sérodifférents (une personne infectée, l'autre pas) et faisait apparaître que si on traitait plus tôt la personne infectée, il y avait une réduction du risque d'infection chez l'autre de 96% (28 personnes infectées, dont 27 chez les personnes traitées plus tardivement). Selon les nouvelles données publiées [hier dans le New England Journal of Medicine], ce sont 29 personnes qui ont été infectées, dont 28 chez les personnes traitées plus tardivement ».Le quotidien ajoute que « faire entrer plus tôt les personnes infectées dans un traitement leur procure un bénéfice individuel, puisque les taux de CD4, les cellules qui mesurent l'immunité, ont toujours été plus élevés chez elles que chez les personnes traitées plus tard. Il y a eu aussi chez les premières 41% de moins d'infections opportunistes reliées à l'infection au VIH, telles que la tuberculose, et de décès ».L’Express aborde également cette étude et cite Gottfried Hirnschall, directeur du département VIH/Sida à l'OMS, qui a déclaré que « ces données vont se refléter dans nos recommandations pour le dépistage des couples, et aussi dans des conseils concernant l'utilisation stratégique des ARV pour le traitement et la prévention du VIH ».
Le Parisien note en bref que « le traitement administré tôt à une personne infectée par le VIH l’empêche dans plus de 96% des cas de transmettre l’infection, ce qui pourrait conduire à l’éradication de l’épidémie, selon une étude phare rendue publique hier à Rome », lors de la « 6ème conférence de l'IAS [International Aids Society] sur la pathogenèse du VIH, le traitement et la prévention ».Le quotidien observe que « les 5 500 scientifiques réunis dans la capitale italienne ont applaudi ces résultats, qui pourraient transformer le profil de la maladie ».Les Echos constate également que « l'utilisation du traitement antirétroviral contre la transmission de l'infection au VIH est encore plus efficace qu'annoncé ».Le journal explique que « cette étude HPTN 052, conduite dans 9 pays, avait été rendue publique en mai. Elle portait sur 1.763 couples sérodifférents (une personne infectée, l'autre pas) et faisait apparaître que si on traitait plus tôt la personne infectée, il y avait une réduction du risque d'infection chez l'autre de 96% (28 personnes infectées, dont 27 chez les personnes traitées plus tardivement). Selon les nouvelles données publiées [hier dans le New England Journal of Medicine], ce sont 29 personnes qui ont été infectées, dont 28 chez les personnes traitées plus tardivement ».Le quotidien ajoute que « faire entrer plus tôt les personnes infectées dans un traitement leur procure un bénéfice individuel, puisque les taux de CD4, les cellules qui mesurent l'immunité, ont toujours été plus élevés chez elles que chez les personnes traitées plus tard. Il y a eu aussi chez les premières 41% de moins d'infections opportunistes reliées à l'infection au VIH, telles que la tuberculose, et de décès ».L’Express aborde également cette étude et cite Gottfried Hirnschall, directeur du département VIH/Sida à l'OMS, qui a déclaré que « ces données vont se refléter dans nos recommandations pour le dépistage des couples, et aussi dans des conseils concernant l'utilisation stratégique des ARV pour le traitement et la prévention du VIH ».
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